CE LIVRE VIENT À SON HEURE POUR CRÉER UN ÉLAN D’ENTHOUSIASME ET OUVRIR UN HORIZON D’ESPÉRANCE AUX JEUNES GÉNÉRATIONS.
APERÇU.
Le souhaiteraient-t-ils, les gouvernants du G20 ne seront jamais en mesure d’apporter des solutions aux questions du XXIème siècle devenues planétaires. Particulièrement celles relatives à l’environnement qui exigent des réponses globales et coopérantes avec une vision à long terme. Malgré cette impératif qui tombe sous le sens, l’exercice de la démocratie à travers le monde se limite toujours au strict cadre national à l’horizon de quatre ou cinq ans entre deux campagnes électorales. Possédant un Adn de winners-killers, les gouvernants des grandes puissances ne sont pas préparés à cette exigence de coopération. Considérant la guerre comme une donnée historique immuable, ils investissent aujourd’hui dans leurs armements plusieurs milliers de milliards détournés de l’action climatique. Dans la foulée, ils poussent contre vents et marées une croissance annuelle des PIB insoutenable pour la planète. Tous les rapports scientifiques le démontrent de manière parfaitement étayée depuis un demi-siècle. Pour autant, qualifiant le réchauffement climatique de « canular », le président Trump donne le signal de la gabegie des fossiles aux autres pays producteurs avec son slogan Drill Baby Drill. Son programme deep sea mining en quête de métaux stratégiques pour l’économie et les armements conforte son option de croissance excessivement polluante et émettrice de GES qui rapproche le moment de basculement vers l’irréversible.
N’en déplaise à Steven Pinker et aux « nouveaux optimistes » du numérique dont il est le chef de file, l’horizon s’assombrit. D’effroyables guerres s’exonérant du droit international fissurent l’édifice onusien bâti en 1945 après une guerre mondiale ayant causé plus de 60 millions de morts. L’échiquier politique des démocraties se teinte de couleurs brunes évoquant les années 30. De vives tensions entre blocs antagonistes nous ramènent au temps de la guerre froide, tandis que les régimes autoritaires, dictatoriaux ou islamistes répriment durement les libertés avec pour premières victimes, les femmes. Nouvelle menace sur le monde, une poignée de leaders du numérique autoproclamés « libertariens-suprémacistes-masculinistes » et ouvertement hostiles à la démocratie détiennent la puissance financière et l’influence politique qui va de pair pour s’opposer à une régulation de l’IA permettant d’en éviter un mésusage périlleux pour l’humanité. Biberonnés à la science-fiction, certains configurent un avenir algorithmique de surveillance quand d’autres travaillent à réaliser des colonies spatiales pour des milliards de gens ou rêvent d’exploiter Mars et de mettre son tombeau sur cette planète repoussante plus petite que la Terre. Le génie touche ici à l’absurde.
Promis à un avenir froid dénué d’humanité et de poésie, menacés de vivre sous le joug ou de disparaître corps et biens au terme d’un nouvel embrasement mondial ou sur une planète-étuve inhabitable, ne restons pas les bras croisés en assistant en direct à notre propre déchéance. Et bien que nous soyons en échec et mat face aux détenteurs du pouvoir qui, comme dans le film de George Lucas, ont sombré du côté obscur de la Force, nous allons faire « comme si » nous pouvions changer le cours des choses. En commençant par dessiner « le monde d’après » auquel nous aspirons toutes pour et tous. Ce livre ouvre la co-construction d’un plan de sauvetage titré PACTE MONDIAL (PM).
Celui-ci recense en douze grandes mesures les préconisations avérées pertinentes à l’épreuve du temps par des scientifiques, des ONG des grandes causes, des universitaires, des chefs d’entreprise, des partis politiques et de l’ONU. Une mesure-phare portera réforme du système mondial créé en 1944 à Bretton Woods et parachevé par la création de l’OMC en 1995 qui propulse l’humanité vers une fin évitable.
Le PACTE MONDIAL fera prévaloir la coopération internationale sur la guerre et le « mieux » sur le « plus » en économie. Il est fondé sur deux piliers intégrant les limites planétaires: une nouvelle économie qualitative bas-carbone et un nouvel art de vivre stimulant, enrichissant et offrant tout ce qui rend réellement heureux. Contrat gagnant-gagnant, ce pacte de survie fait de la régénération de la planète un défi enthousiasmant et un puissant levier d’emplois et d’activités au niveau mondial et de profitabilité pour les entreprises. Nécessité fait loi. Associant les acteurs du marché et les médias publicitaires, une directive internationale alignera les intérêts économiques et les impératifs environnementaux afin d’assurer la pérennité de nos civilisations.
LES PRÉMICES D’UNE DÉMOCRATIE SUPRANATIONALE CONCERNANT LES QUESTIONS GLOBALES D’INTÉRÊT COMMUN.
La société civile se met également en action pour soutenir le secrétaire-général de l’ONU Antonio Guterres. Cet homme visionnaire déploie sans compter son énergie et son talent au service des peuples des nations. Lors de la COP27 à Charm el-Cheikh, il appelait de ses vœux un « pacte de solidarité climatique » pour, selon ses propres termes, « éviter un suicide collectif ». Le Pacte mondial promu ici partage les objectifs du Pact for the future et du Digital Global Digital Compact mis en chantier par l’ONU en novembre 2024. Des initiatives certes louables et nécessaires, mais ne nous berçons pas d’illusions. Les négociations prévues sur ces textes connaîtront de nombreux blocages compte tenu d’un contexte géopolitique explosif et des divergences de fond entre l’Amérique et l’UE sur la régulation du numérique.
À l’heure où l’ONU voit ses missions entravées par Vladimir Poutine et Benjamin Netanyahou avec le soutien inconditionnel de l’Amérique, première puissance économique et militaire mondiale, les idéaux des Nations Unies nous devons travailler à traduire dans les urnes les idéaux onusiens pour la paix et le droit international. S’inspirant du Peoples’ Climate Vote 2024 réalisé par le PNUD et l’université d’Oxford, les douze mesures du PACTE MONDIAL, ainsi que les réformes institutionnelles seront soumises aux votes d’un panel représentatif des peuples des nations. Les votes majoritaires -à plus de 60%- feront émerger une vox populi planétaire structurant un programme commun à l’intention des partis qui se créeront dans les pays démocratiques.
Cette stratégie électorale mise en œuvre constitue une véritable innovation de rupture en politique.
Les votes majoritaires formeront la matrice d’un programme commun de portée globale capables de séduire un très large électorat dans les pays démocratiques tout en envoyant un puissant signal aux peuples vivant sous des régimes autoritaires. Dans chaque pays démocratique se créeront dans la foulée de nouveaux partis politiques. Pour afficher leur ambition planétaire, ces nouveaux partis partageront le même nom et le même logo de la Terre vue du ciel.et promouvant le programme commun « VIVA-PACT ». (Le nom et logos sont préconisés par l’auteur ancien publicitaire.)
Cette dynamique libératrice inspirera des mouvements « VIVA » dans le reste du monde chez les peuples épris de liberté.
Quand on touche le fond comme aujourd’hui, on remontre très vite à la surface. Cette stratégie électorale innovante favorisera l’accès au pouvoir d’une nouvelle génération politique à travers le monde.
Les gouvernants du G20 sont des hommes du passé co-responsables d’une magistrale faillite au plan environnemental, sociétal, politique et géopolitique. Dans ce monde en état de choc, l’initiative du Pacte mondial vient à son heure pour créer un élan d’enthousiasme et ouvrir un horizon d’espérance aux jeunes générations. Il sème les graines d’une nouvelle classe politique au sommet des grandes et moyennes puissances désireuse d’appliquer de concert les mesures du programme transnational visant à assurer notre futur commun.
Réenchantons le monde en couleurs de paix, de liberté, de dignité et de désir. Cet essai proactif vous permet d’exprimer vos choix sur les principes et les douze mesures du PACTE MONDIAL. En attendant la constitution du panel mondial, vous pourrez réitérer vos votes sur la plateforme globalpact.online
Formé sur les mêmes bancs de l’Essec que l’industriel Jean Mersch à l’origine du Centre des Jeunes dirigeants d’entreprise (CJD), l’auteur promeut dans le Pacte mondial une gouvernance économique respectueuse des personnes et des limites planétaires. Compte-tenu de leur caractère résolument innovant sortant des sentiers battus de la politique, la stratégie électorale et les mesures du Pacte mondial ont été validées -parfois optimisées- avec l’assistance des IA Chat-GPT, Mistral, Grok et Perplexity.
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AUTRES TEXTES A ENREGISTRER DANS SAUVEGARDE DU SITE 6.9.2025
Depuis un demi-siècle, de considérables efforts ont été fournis par les défenseurs de la planète et des grandes causes, notamment par les scientifiques, par des hommes politiques comme Al Gore, par des universitaires, ainsi qu’au sein de la sphère des ONG sans avoir réussi à ralentir la course du marché vers une voie à haut-risques pour la planète et l’humanité. En janvier 2025 , 11000 leaders issus de la sphère économique, politique, académique et civile ont répondu à l’enquête sur les « Global Risks » conduite dans le cadre du Forum économique mondial de Davos. Ils ont placé pour la première fois des questions environnementales dans les trois premiers risques globaux dans dix ans. 1. Changements et événements climatiques extrêmes. 2. Perte de biodiversité et effondrement des écosystèmes. 3. Manque de ressources naturelles (eau, nourriture, matières premières). Bonne nouvelle, des leaders mondiaux de l’économie sont pleinement conscients du fait que le modèle de croissance promu contre vents et marées par les gouvernants du G20 est en train d’effondrer à grande vitesse l’écosystème planétaire qui sous-tend les sociétés humaines et le marché lui-même. L’urgence est là de réorienter le marché mondial dans la bonne voie pour faire de la régénération des écosystèmes endommagés un formidable gisement d’emplois et d’activités, un vecteur de prospérité partagée et une excellente source de profitabilité pour les entreprises. Ce livre est donc l’oeuvre d’un chef d’entreprise ayant démarré sa carrière dans une agence de publicité. Il a été formé à l’École des sciences économiques et commerciales sur les mêmes bancs que l’industriel Jean Mersch quarante ans auparavant. Inspiré par le fondateur du Centre des Jeunes Patrons, devenu CJD, le PACTE MONDIAL au coeur de ce livre promeut une économie au service des sociétés humaines dans le respect des limites planétaires.
La première règle de tout manager est de créer du désir pour le produit à lancer. Mon travail a été d’offrir ici une vision désirable du « monde d’après » dans l’intérêt partagé de la société, des entreprises et des actionnaires. C’est le sens de la nouvelle économie qualitative (NEQ) bas-carbone intégrant cette fois les limites planétaires. Mettre à la mode de nouveaux styles de vie bas-carbone offrant tout ce qui rend réellement heureux est le deuxième levier d’un changement de cap salvateur. Dessiner les contours d’une réforme des institutions mondiales du commerce et du crédit, c’est déjà créer une image mentale leur donnant une première réalité et faire un pas décisif vers leur réalisation. Cela participe du management par objectif pratiqué par toutes les firmes en fixant l’objectif -en principe la réussite du lancement d’un produit- et en traçant en pointillés la stratégie de moyens pour y parvenir. Un moyen efficace de clarifier le projet, stimuler les équipes et accélérer le succès. Par réflexe de publicitaire, j’ai posé des dénomination et dessiné les logos dans le même but de donner à voir, de faciliter la compréhension. Même si ces éléments ont été validés par Grok, Chat-GPT, Mistral et Perplexity, il ne s’agit que de propositions. Le logo titrant la présente plateforme GLOBAL PACT est sous-titrée Reshaping the World. Regenerating the Planet. Dans une communication institutionnelle, il faut toujours offrir une image puissante de nature à booster la notoriété et à donner confiance.
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« Nous, les Peuples des Nations Unies ». Tels sont les premiers mots de la Charte des Nations Unies adoptée en juin 1945 à San Francisco dans les buts suivants: « Préserver les générations futures du fléau de la guerre qui deux fois en l’espace d’une vie humaine a infligé à l’humanité d’indicibles souffrances. Proclamer à nouveau notre foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité de droits des hommes et des femmes, ainsi que des nations, grandes et petites. Créer les conditions nécessaires au maintien de la justice et du respect des obligations nées des traités et autres sources du droit international. Favoriser le progrès social et instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande. » Créée au terme d’une guerre mondiale ayant causé plus de soixante millions de morts, l’ONU a cependant été entravée ces dernières années. La Russie, les États-Unis et d’autres nations ont trop souvent bloqué par véto des actions majeures et paralysé l’ONU face à des crises humanitaires graves, notamment en Syrie, en Ukraine ou à Gaza. Un grand nombre de résolutions du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale de l’ONU n’ont pas été respectées concernant l’arrêt de la colonisation en Cisjordanie, Jérusalem-Est et le statut des réfugiés palestiniens. Nous assistons en direct depuis 2022 à des guerres effroyables fissurant dangereusement l’édifice onusien. Le niveau d’inconséquence de ceux qui gouvernent le monde injurie le bon sens et bafoue notre instinct de survie. Oublieux de l’impératif vital de régénérer les écosystèmes permettant la vie sur Terre, les gouvernants des grandes et moyennes puissances détournent aujourd’hui dans leur réarmement les milliers de milliards nécessaires pour restaurer l’environnement. Autre sujet alarmant, l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche et son slogan Drill Baby Drill donnent le signal de la gabegie à tous les pays producteurs pour multiplier et amplifier les épisodes catastrophiques liés au dérèglement climatique. Qui pis est, ce président consolide avec son ami Netanyahou une amicale néofasciste incluant plusieurs leaders européens. Quant aux libertariens de la Silicon Valley ouvertement hostiles à la démocratie, ils augurent d’un monde algorithmique déshumanisé sous surveillance que nous refusons catégoriquement. L’effacement du pouvoir moral de l’ONU, la montée des leaders autoritaires dans le camp démocratique, ainsi que les régimes liberticides -politiques ou religieux- dans le reste du monde augurent d’incommensurables tragédies pour l’avenir.
Promis à vivre sous le joug ou à disparaître du fait d’un nouvel embrasement mondial ou d’une planète-étuve rendue inhabitable, ne restons pas les bras croisés en attendant un chaos final. Puisque les fossoyeurs de la planète et les ennemis de la liberté sont de toute évidence invincibles, nous allons jouer à faire « comme si » c’était possible de changer de monde et de sauver la planète. Les initiatives de l’ONU telles le Global Compact avec les multinationales et le Pact for the Future assorti du Global Digital Compact et de la Declaration on Future Generations préparés en 2024 sont une base inspirante. Mais ne nous berçons pas d’illusions. Les négociations prévues sur ces textes connaîtront de nombreux blocages compte tenu d’un contexte géopolitique explosif et des divergences de fond entre l’Amérique et l’UE sur la régulation du numérique. Même si l’ONU est une vieille institution qui mérite d’être rénovée, nous devons soutenir l’action de son secrétaire général qui se dévoue sans compter pour la paix, les droits humains, l’environnement et à présent pour la régulation du numérique. Où que l’on réside et quelles que soient nos croyances et notre position sociale, nous sommes toutes et tous en attente d’un grand projet capable de susciter un élan d’enthousiasme et d’ouvrir un horizon d’espérance aux jeunes générations. Chef d’entreprise, l’auteur apporte sa propres contribution en recensant douze grandes mesures préconisées de longue dates par différents acteurs: scientifiques, ONG, universitaires, chefs d’entreprise, partis politiques et par les pactes de l’ONU déjà évoqués. Ces mesures avérées pertinentes à l’épreuve du temps sont intégrées dans un plan de sauvetage titré GLOBAL PACT – PACTE MONDIAL en phase avec la Déclaration universelle des droits de l’Homme, les diverses conventions internationales et les conclusions des scientifiques de la planète.
Ses principes et ses douze mesures seront soumis à un panel représentatif en tous critères des peuples des nations à partir de quinze ans. Les mesures obtenant plus de 60% des votes structureront un programme commun de portée globale dessinant »le monde d’après » auquel nous aspirons toutes et tous. (Cf. ci-dessous LES PRÉMICES D’UNE DÉMOCRATIE SUPRANATIONALE.)
Cette initiative bottom up de la société civile n’a aucun lien formel avec l’ONU. Associant les milieux d’affaires et les médias, le Pacte mondial a pour double objet d’éviter l’effondrement de l’écosystème planétaire qui sous-tend les sociétés humaines et le marché lui-même, et d’assurer dignement notre futur commun sur une planète régénérée.
Ce programme transpartisan du fait de la régénération de la planète un puissant levier d’emplois, de prospérité pour la société et de profitabilité pour les entreprises. Il est fondé sur deux piliers. -> Le développement d’une nouvelle économie qualitative intégrant les limites planétaires. -> De nouveaux styles de vie très faiblement émetteurs de GES, à la fois stimulants, humainement enrichissants et offrant tout ce qui rend réellement heureux.
LA MESURE-PHARE DU PACTE MONDIAL.
Jusqu’à présent, la transition écologique et la reconversion bas-carbone de l’économie mondial ont été « vendues » de manière désastreuse à l’opinion et aux milieux d’affaires. En clair, elle était synonyme de chômage et de faillites pour les nombreux secteurs impactés. Sans un accompagnement étatique à la hauteur de l’enjeu, notre avenir sur Terre est sérieusement compromis. Le coeur du Pacte mondial sera la création d’un Fonds mondial et d’un système monétaire international dits « de sauvetage » adaptant les missions du système de Bretton Woods aux réalités d’un monde de huit milliards d’habitants vivant sur une planète au bord d’un chaos écologique et climatique. Quatre grandes missions.
1. Accompagner les entreprises et les personnels dans chaque pays durant la transition bas-carbone en terme de subventions pérennes, d’aide à la formation et de salaires.
2. Financer les budgets de revalorisation salariale pour les métiers pénibles identifiés durant la pandémie comme indispensables pour permettre à la société de fonctionner.
3. Financer les Green Jobs à travers le monde pour tous les volontaires engagés dans des activités pour la planète et le vivant.
4. Financer massivement les budgets publicitaires tous médias, ainsi que la campagne internationale permanente OWOP (One World–One Planet).
////REPIQUER MON TEXTE SUR LE COUT DE CES MESURES dans une IA.
Pour nécessaires qu’elles soient en vue d’assurer notre futur commun, le Global Rescue Fund et le Monetary Rescue System ne sont pas dans l’agenda du G20 focalisé sur d’autres urgences économiques, géopolitiques et militaires. Nécessité fait loi. S’il est voté à une majorité égale ou supérieur aux deux-tiers du panel mondial, il reviendra aux experts de ces questions de tracer les contours du nouveau système économique mondial.
LE VOLET COMMUNICATION DU PACTE MONDIAL.
Dans l’hypothèse attendue où les buts du nouveau système mondial seront votés à une très large majorité le panel mondial,
EN COURS D’ECRITURE
La campagne mondiale multimédias « One World-One Planet » (OWOP) s’articulera autour d’émissions et des série télévisées, de fictions pour le cinéma, de documentaires, de films d’animation, de jeux-vidéos, de livres, de BD, de contes pour enfants, ainsi que sur les réseaux sociaux. Cette campagne aura pour vocation de développer avec talent la part élevée de l’être humain pour jouir d’une vie personnelle plus riche et d’une société plus conviviale. Une ligne éditoriale offrant trois thèmes principaux 1. Développer une forte conscience planétaire, gage d’entente entre les peuples et de coopération internationale. Notamment avec la promotion du drapeau planétaire à joindre au mât des drapeaux nationaux et l’Hymne mondial. 2. Les guerres. Seront démontrées à travers les grandes guerres du passé, notamment les trois guerres entre la France et l’Allemagne, l’absurdité et l’inutile barbarie des guerres. 3. Promouvoir un nouvel art de vivre. Les publicitaires mettront à la mode de nouveaux styles de vie offrant tout ce qui rend réellement heureux avec de très faibles émissions de GES. Stimulant naturellement la création des hormones qui apportent bien-être et énergie -telles la dopamine, la sérotonine, l’ocytocine, l’adrénaline ou les endomorphines-, ces modes de vie seront stimulants, humainement enrichissants et permettront de vivre plus longtemps en meilleure santé.
Ce puissant effet de mode « ringardisera » l’ancienne hyperconsommation de fausses nouveauté souvent inutiles, voire superflues qui renvoient chaque année en déchets dans la nature des centaine de millions de produits vers les poubelles du monde en Afrique ou ailleurs. Je prends un exemple. Les vitrines de chez Vuitton à travers le monde proposeront des produits extrêmement stylés, rares et très coûteux avec des produits recyclés ne créant pas d’émissions de gaz à effet de serre réalisées dans de bonnes conditions en terme de salaires et de conditions de travail. La vitrine d’été de la boutique des Champs Élysées présenterait une immense fleur dont les pétales seraient des kayaks à l’esthétique époustouflante et les couleurs incroyables .Les clients de la marque seraient séduits même s’ils coûtent bien plus cher. L’effet de mode est surpuissant. Les personnes fortunées en général et certains milliardaires se trouveront ridicules sur leur mégayacht. Ils acquerront de somptueux voiliers et remplaceront leurs scooters des mers pour jouir silencieusement de la nature sur leur kayak Vuitton hors de prix. Un peu d’exercice, c’est sympa ! Ces nouveaux styles de vie délaissant le « plus » pour le « mieux » seront rapidement pratiqués par les 15% de l’humanité qui possèdent 85% de la richesse mondiale des ménages (selon les UBS 2025 Global Wealth Report) et consomment, polluent et émettent en proportion des GES. Cela modélisera ce modèle vertueux dans le reste de l’humanité.
LES PRÉMICES D’UNE DÉMOCRATIE SUPRANATIONALE CONCERNANT LES QUESTIONS GLOBALES D’INTÉRÊT COMMUN.
À l’heure où l’Organisation des Nations Unies voit ses missions pour la paix et le droit international entravées par Vladimir Poutine et Benjamin Netanyahou avec le soutien inconditionnel de la première puissance économique et militaire mondiale, l’heure est venue pour les peuples des nations de « sauver le soldat Guterres ». S’inspirant du Peoples’ Climate Vote 2024 réalisé par le PNUD et l’université d’Oxford, les douze mesures du PACTE MONDIAL, ainsi que les réformes institutionnelles seront soumises aux votes d’un panel représentatif des peuples des nations. Les votes majoritaires formeront la matrice d’un programme commun de portée globale capables de séduire un très large électorat dans toutes les démocraties. Dans chaque pays démocratique se créeront dans la foulée de nouveaux partis « VIVA » dotés du même logo de la Terre vue de l’espace et promouvant le programme commun « VIVA-PACT ». (Le nom est suggéré par l’auteur qui a exercé dans le domaine de la communication.) Cette dynamique libératrice inspirera des mouvements « VIVA » dans le reste du monde chez les peuples épris de liberté.
Quand on touche le fond comme aujourd’hui, on remontre très vite à la surface. Cette stratégie électorale innovante favorisera l’accès au pouvoir d’une nouvelle génération politique à travers le monde.
En attendant la création du panel mondial, jouons ici et maintenant à dessiner la monde d’après. Cet essai proactif vous permet d’exprimer vos choix en famille au chapitre dédié sur les principes, les orientations et les douze mesures du GLOBAL PACT. Vous pourrez réitérer vos choix sur la plateforme globalpact.online
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